On peut sérieusement se demander si la tradition qui consiste à ce que son parrain et sa marraine offrent à leur filleul (ou filleule) une médaille et sa chaîne, afin qu’il puisse porter sur lui et jusqu’à la fin de sa vie, cette marque concrète de son baptême et donc de l’accompagnement ainsi institué de l’Esprit saint (en clair de l’Esprit de Dieu), n’est pas la source de l’engouement actuel pour les petits pendentifs discrets portés près du cou indépendamment de tout rite religieux.
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