Pour vos grains de beauté, consultez votre dermatologue

Les grains de beauté nécessitent une surveillance dermatologique régulière, quant à leur forme, notamment si elle est asymétrique, leur taille, les bordures, en particulier si elles sont irrégulières, leur pigmentation et leur évolution générale ou leur modification, mais il est difficile de savoir précisément quand les grains de beauté deviennent dangereux ou s’ils sont déjà des tumeurs malignes. Etre vigilant est primordial, car les cancers de la peau font partie des cancers les plus fréquents en France, avec près de 60 000 nouveaux cas par an.

 

Suivi dermatologique nécessaire, prenez rendez-vous chez un dermatologue

Coup de soleil, grains de beauté… Prenez rendez-vous chez un dermatologueLa première démarche consiste donc à mettre en place un suivi régulier chez votre dermatologue. Aussi, au moindre doute, n’hésitez pas à consulter votre médecin. Pour obtenir un rendez-vous rapidement et trouver un dermatologue en ligne, connectez-vous sur le site Le Guide santé. Au cours de ce rendez-vous, votre dermatologue évaluera les facteurs de risques après un examen complet de votre peau. Ne soyez pas étonné que le dermatologue prenne des photographies afin de surveiller plus particulièrement l’évolution de certains grains de beauté. Ce bilan prend en compte la couleur de votre peau, vos habitudes d’exposition solaire, si vous avez eu des coups de soleil durant l’enfance, les antécédents familiaux de cancers de la peau et le nombre de grains de beauté, avec une attention particulière, si vous en avez plus de 50. Vous apprendrez aussi la bonne façon de surveiller vos propres grains de beauté et votre dermatologue vous indiquera la fréquence de vos rendez-vous dermatologique.

Nouvelle technologie, une application qui surveille vos grains de beauté

Il existe aujourd’hui une application qui permet de s’autodiagnostiquer, de surveiller et même de s’autoscanner de la tête aux pieds pour détecter l’apparition de nouveaux grains de beauté et identifier les éventuelles tumeurs malignes comme les mélanomes, grâce à l’envoi d’une « alerte rouge ».

Auteur de l’article : Romuald